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BAGAP UMR 0980 INRAE Agrocampus Ouest ESA

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    Suivi expérimental de la dispersion de graines adventice, Le Rheu, 2021 En amont du suivi de dispersion des graines, des plantes en pot sont cultivées en serre. Les graines sont marquées à l’aide de peinture fluorescente.Une semaine avant installation des pots sur le terrain, les plantes sont acclimatées aux conditions extérieures en réduisant progressivement l’arrosage. Après récolte du blé dans la parcelle sélectionnée, les pots sont enterrés sur le terrain, dans un champ « donneur » (A) séparé d’un champ « receveur » (B) par une haie, sur le domaine expérimental du Rheu. La mesure de la dispersion des graines depuis les plantes mères se fait au cours des mois de septembre et octobre. Les relevés se font la nuit (entre 23h et 2h), à l’aide d’une lampe UV, sur une zone de 120m par 78m. Les espèces adventices (Avena fatua, Lolium multiflorum, Sonchus Asper et Fallopia convolvulus) sont positionnées dans le champ donneur, à 50m et à 0.5m de l’interface champ – haie. Les espèces associées aux haies (Galium aparine et Anisantha sterilis) sont positionnées dans la haie, du côté du champ « receveur » (les vents dominants soufflent du sud-ouest vers le nord-est). Après installation des plantes en pot sur le terrain, trois relevés (23 septembre, 30 septembre et 7 octobre 2021) sont réalisés à intervalle régulier de sept jours. Lors des deux premiers relevés, les graines observées au sol sont laissées sur le terrain afin de permettre la dispersion secondaire. Lors du troisième relevé, toutes les graines sont ramassées afin d’éviter leur germination dans les champs. Un relevé consiste en une déambulation le long d’un sentier balisé à l’aide de jalons, qui permet de noter la position de chaque graine trouvée sur une fiche terrain. Un code couleur permet de différencier les espèces et leur provenance (i.e. cœur de champ, bord de champ, haie). Document de référence: Boinot Sébastien (2023) Rapport final du projet DIVERSIT'HAIES Associer haies et agriculture biologique à différentes échelles, un levier pour conserver la diversité végétale des paysages agroforestiers et gérer la flore adventice ? 27p.

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    "155 outils et méthodes d'observation de la biodiversité: base de données excel et résumé des fonctions de chaque outil (2017)" Cette base de données à été crée en 2017 par Ninon Chauvy lors de son stage de Licence Professionnelle intitulé "Outils et méthodes d'évaluation de la biodiversité à l'échelle de l'exploitation". Le stage de Ninon Chauvy a été encadré par Audrey Alignier (audrey.alignier@inra.fr) et Bénédicte Roche (benedicte.roche@inrae.fr) de l'UMR INRAE 0980 BAGAP. Le stage avait pour objectif de faire un état des lieux des outils et méthodes d'observaiton de la biodiversité. Ce stage s'inscrit dans le cadre du projet PEI-Agri 2017 "Favoriser l'autonomie des agriculteurs dans l'évaluation de la biodiversité sur leur exploitation".Ce projet est porté conjointement par la FRCIVAM (Hélène Roisille), Bretagne Vivante (Luc Guihard) et l'INRAE UMR 0980 BAGAP (Audrey Alignier et Bénédicte Roche).Ce projet a été soutenu par le Fonds européen agricole pour le développement rural – FEADER

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    Les pratiques d’entretien des bordures de champs, comme certaines pratiques culturales sur la parcelle voisine, ont des effets sur l’état de ces bordures. En effet, un talus mis à nu par un traitement herbicide est un état produit par une action d’entretien, comme le retournement de la végétation sur la bordure est l’état produit par une pratique culturale de la parcelle. L’observation de ces états nous renseigne sur le mode de gestion des bordures de champs par les agriculteurs, et le suivi trimestriel nous montre l’évolution des pratiques et des états produits. Ces suivis sont réalisés sur plus de 300 bordures de champs dans les 3 mini-réseaux (A, B, C) du site atelier de Pleine-Fougères, tous les trimestres, depuis 1995 par un membre de l'UMR BAGAP. Voir les articles: Codet C. & Alignier A. (2017) Gestion des bordures de champs, 19 ans de suivi. Cahier des Techniques de l'INRA, 91, 1-10. Codet C. & Alignier A. (2015) Gestion des bordures de champs: dix-neuf années de suivi. Phytoma n°685, 39-43.

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    Relevés des occupations du sol autour de 20 parcelles essai, dans un cercle de 1km² de surface (560m de rayon) centré sur chaque parcelle, réalisé dans le cadre du réseau observatoire SEBIOPAG (https://sebiopag.inrae.fr/) Ce suivi a été réalisé en 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021, 2022 et 2023

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    "Suivi des pratiques agricoles (travail sol et semis) - ZAAr" Suivi sur 4 années des pratiques agricoles allant de la préparation du sol au semis pour environ 240 parcelles de cultures sur 6 exploitations les 2 premières années et 5 sur les 2 dernières.

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    "Suivi de la communauté de carabes des haies (mini réseau B) - ZAAr" Ce suivi s'inscrit dans le suivi des communauté de carabes des haies des mini-réseaux de la Zone Atelier Armorique (site de Pleine-fougères). Dans le mini-réseau B, 10 haies ont été choisies en fonction de leur structure (strate arborescente, strate arbustive, talus, fossé...). Dans chaque haie sont positionnés 3 pot-barbers écartés de 1 à 2 m de distance. Ces pots-pièges sont positionnés au milieu de la haie. Pour chaque année d'étude, les pièges sont ouverts en continu, de fin avril à début octobre, par session de 15 jours. Ce suivi est effectué tous les 2 ans: 2007, 2009, 2011, 2013, 2015, 2017, 2019.

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    "Cartographie des pratiques agricoles et des insectes auxiliaires (sud Ille et Vilaine) - ZAAr" L’objectif de ce projet est d’évaluer les effets de la diversité et de l’organisation spatiale des pratiques en Agriculture Biologique et en Agriculture Conventionnelle dans des systèmes de polyculture-élevage bretons sur les insectes auxiliaires, à l’échelle de la parcelle et du paysage. Dans 80 paysages d’Ille et Vilaine sud, un suivi des communautés d'auxiliaires (coccinelles, carabes, parasitoïdes) et des ravageurs du blé d'hiver (pucerons) a été réalisé entre avril et juillet, dans une parcelle de blé biologique et une parcelle de blé conventionnelle. Une cartographie précise de l’occupation du sol de chaque paysage a été réalisée, ainsi que des enquêtes avec les exploitants afin de relever les pratiques agricoles mises en œuvre dans les parcelles suivies et dans leur environnement paysager proche. Cette étude a été en partie financée par le projet ANR Landscaphid.

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    "Suivi de la communauté des carabes sur de haie des 3 mini réseaux de la ZA (mini réseau C de la Pleine-fougères)" Ce suivi s'inscrit dans le suivi des communauté de carabes des haies des mini-réseaux de la Zone Atelier Armorique (site de Pleine-fougères). Dans le mini-réseau C, 10 haies ont été choisies en fonction de leur structure (strate arborescente, strate arbustive, talus, fossé...). Dans chaque haie sont positionnés 3 pot-barbers écartés de 1 à 2 m de distance. Ces pots-pièges sont positionnés au milieu de la haie. Pour chaque année d'étude, les pièges sont ouverts en continu, de fin avril à début octobre, par session de 15 jours. Ce suivi est effectué tous les 2 ans: 2007, 2009, 2011, 2013, 2015, 2017, 2019.

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    "Relevés de flore en cultures annuelles en agriculture biologique et conventionnelle (sud Ille et Vilaine) - ZAAr" Objectif : étudier la flore au sein de parcelles de céréales d'hiver en agriculture biologique et conventionnelle, réparties dans 20 paysages au sud de l'Ille et Vilaine. Protocole : - Dix quadrats de 50 * 50 cm, positionnés tous les 3 mètres sur une bande située à 50m de la bordure de la parcelle (cf. schéma ci-dessous). Pour chacun noter : - le % de recouvrement pour : adventices total, graminées, dicotylédones, espèce dominante, espèces en montaison (attention graminées, fleurs discrètes) - le nombre d’espèces total, graminées, dicotylédones. Ces suivis ont été effectués en 2014, 2015, 2018, 2021 et 2023 Programmes de financement : projet SEBIOPAG-ECOPHYTO; projet PREPARE; projet STABIREG http://sebiopag.inrae.fr/

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    Le suivi des pollinisateurs consiste à réaliser des comptages d’insectes (abeilles sauvages, abeilles domestiques, syrphes, bourdons, autres diptères, papillons) au butinage des fleurs et en vol le long de transects marchés. La longueur de ces transects est de 50 m. Un transect est placé en bordure de parcelle (zone non-cultivée). L'autre transect est placé au centre de la parcelle, i.e. à 50 m du bord de la parcelle. Les transects sont délimités en largeur par un couloir de 1 m de part et d’autre de l’observateur. Les plantes à felurs en fleurs sont identifiées à l’espèce. Les pollinisateurs sont identifiés à vue au morphogroupe voire au genre ou à l’espèce quand c’est possible. Des photographies sont prises pour confirmer l'identification des insectes au laboratoire. En plus des butinages des pollinisateurs sur les plantes, les espèces végétales en fleurs ignorées par les insectes sont également notées. Toutes les espèces en fleurs se voient attribuer une évaluation de leur recouvrement. Les suivis de pollinisateurs sont réalisés lorsque la température est supérieure à 15° C et plus en cas de couvert nuageux. Les suivis sont réalisés dans des conditions où le vent ne dépasse pas 30 km/h. La fenêtre temporelle idéale pour les suivis est de 12:00-16:00. Un suivi trop précoce (avant 9:00-10:00) risquerait d’augmenter les écarts de conditions de suivis Les suivis sont réalisés dans 20 parcelles au Sud de l'Ille-et-Vilaine, toutes en agriculture biologique. 10 parcelles sont cultivées en céréales pures et 10 parcelles sont cultivées en mélange céréales/légumineuses (pois ou féverolle). Les suivis se sont déroulés de mai à juillet 2018 à raison de 1 à 2 relevés par mois. Le travail s'inscrit dans le stage de Master 2 de Tristan Berry "Rôle de la diversification végétale, à différentes échelles, pour le maintien de la diversité des communautés d'insectes pollinisateurs dans les paysages agricoles" encadré par Stéphanie Aviron et Audrey Alignier.